Un nouveau test permet de détecter un large panel de perturbateurs endocriniens (PE) en étudiant les modulations hormonales et leurs implications délétères liées à la présence de PE.
Une dizaine d’huiles essentielles, dont la lavande, ont été testées et les effets nocifs sur le système endocrinien n’ont pas été constatés.
Cette révélation remet en cause la méthodologie envisagée par la réglementation Reach pour analyser la potentielle toxicité des huiles essentielles molécule par molécule, et non dans leur globalité.
Des études complémentaires doivent encore être menées pour valider complètement les premières données mais c’est déjà une avancée permettant d’envisager une approche différente dans la manière d’analyser les produits naturels.
Une bonne nouvelle pour la filière des huiles essentielles !